La Tête de BarbaBon/BarbaLon > c'était court mais bon :!

le 7 février 2018 , par Mounir BOUNAMA , 1006 vues

Nous voilâmes partis un dimanche 28 janvier 2018 en direction de Lavaldens, petit hameau situé non loin de La Morte pour réaliser la tête de Barbabon ( ou lon selon les cartes IGN) proposé par le grand Mounir.

Nous étions donc 7 ; Ruben, Mounir, Matthieu, Joris, Pierrot,Julien et Julien !

Nous sommes donc partis à 7h30 de Botanic sous un ciel très nuageux mais cela n'allait pas durer très longtemps. En effet, nous passâmes au dessus de cette mer de coton pour trouver un  grand ciel bleu.



Nous arrivâmes sur le parking à 8h30 et commençâmes à marcher à 9h. 4 raquetteurs et deux skieurs.

 

La montée se passa sans aucune encombre sur une neige plutôt dure ou crouteuse.





Nous fîmes une pose à mi-parcours histoire de manger quelques barres et gouter au fameux mélange graines/pate d'amande qu'avait concocté avec amour notre ami Joris. Le soleil commençait à chauffer mais la neige ne voulait pas décailler.



C'est aux alentours de 11h30 que nous arrivâmes au col à 150m au dessous de l'objectif. La pente finale fit douter nos 2 encadrants car elle parraissait venté et un peu raide. Après un petit moment d'hésitation, nous renonçâmes à l'objectif.


Nous attendîmes alors une petite demi-heure dans l'espoir que la neige décaille.

C'est alors que se lança le magistral Mounir dans cette belle pente toute lisse. Les premiers virages laissèrent entendre que le dégel n'était toujours pas là. Mais bon tant pis, nous nous lançâmes à tour de rôle dans cette belle pente un peu sur la retenue sauf pour Julien qui la dévala à Mac10 dans un style de toute beauté sur ces skis.




Nous arrivâmes à la voiture à 12h30. Aucun guenillage, aucune anacdote à raconter, je n'en revenais pas .....c'est un peu trop calme, j'aime pas trop ça.....sauf que la journée n'était pas finie....

Nous commençâmes alors à ôter nos habits tout en discutant. Pierrot, qui fut le dernier à se rhabiller, nous pressa le pas (alors que nous n'attendions que lui) car il voulait rentrer tot à Lyon. Nous n'avons donc pas rater l'occasion de le charrier et nous prîmes la décision d'aller boire un coup dans la majestueuse station de l'Alpe du grand cerf.



Nous nous garâmes alors à la sortie de la station et marchâmes jusqu'à l'entrée de la station ( et oui, nous n'avions pas assez fait de dénivelée) ou Mounir connaissait un bon restaurant Corse.

Nous nous posâmes alors en terrasse qui était bien rempli. Pauvre Pierrot, il ne savait pas encore ce qui allait arriver......d'ailleurs, il n'arriva rien durant la d' ½ heure qui suivit. Personne ne vint prendre notre commande. Bon on n' est pas pressé en Corse mais quand même. Pierrot commença alors à gesticuler sur sa chaise et envoyer des regards plus qu'assassin à la serveuse.



Nous décidâmes alors de prendre la commande à l'intérieur. Ce ne fut pas plus glorieux. Après plus de 10min a attendre que la serveuse ait eu fini d'encaisser les uns, de préparer les boissons des autres et de se faire presser par le cuistot, je lui demandai si je pouvais commandais au bar et là, sa réponse fut fatale : Non trop d'attente.

Nous repartîmes alors la queue entre les jambe en terrasse ou nous annonçâmes la nouvelle et là nous avons failli appeler le PGHM pour venir secourir Pierrot qui nous faisait une syncope.

10 min plus tard, la serveuse arriva et prit notre commande : 2 chocolats, un diabolo fraise ( car pas de pomme) pour Mounir, 1 coca, 2 Pietra et 1 citron chaud........Et la nous faillîmes appeler de nouveau le PGHM mais pour la serveuse, qui après un roulement d'yeux, nous lança avec sa voix la plus douce:

«  ET COMMENT JE FAIS CA MOI !!!! » ce qui nous fit tous rire sauf Julien qui ne savait plus ou se mettre avec son citron chaud...bon du coup ce sera une verveine. Ah oui et aussi, 2 steak haché frites pour Matthieu et Mounir car il n'y avait que 20 min d'attente....ce qui fut le coup de grâce pour notre Pierrot.


La  fin de l'histoire fut brève car après 30min d'attente, les 2 steaks hachés frites furent mangés en 5min chrono et ne se passa sans encombre hormis un panaché à la place du diabolo pour Mounir ; oui un diabolo qui mousse, c'est rigolo mais pas trop normal...

Nous rentrâmes alors sur Grenoble à 16h sous le ciel nuageux et Pierrot pût aller prendre son train.

Bref, ce fut une magnifique sortie sous un temps de rêve, merci à Mounir et Matthieu d'avoir proposé et encadré la sortie et à Joris de l'avoir co-encadré et aux autres pour la bonne humeur générale....:-)

 

De Julien ( le surfeur )

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